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The Prisoner 1967

The Prisoner 1967 S01E15:

The Girl Who Was Death ***

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Séries télévisées 1967

Dystopie - Prospective - Espionnage - Action - Fantastique - Science-fiction

Traduction du titre original : La Mort en marche.

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Ici la page de la série télévisée de The Prisoner 1967.

Diffusé en Angleterre sur ATV Midlands le 19 janvier 1968.
Diffusé en France le 15 avril 1991 sur M6 FR.

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De Patrick McGoohan. Avec Patrick McGoohan, Leo McKern, Angelo Muscat.

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The Prisoner 1967

Pour adultes et adolescents

Un livre d’image qu’un enfant feuillette. L’enfant s’arrête à la page illustrant un match de cricket. Le match est très applaudi par les quelques spectateurs, tandis que les équipes sont quasiment à égalité. L’homme qui marque le score scrute la foule avec ses jumelles, et s’arrête sur les longues jambes d’une jeune femme blonde en robe blanche et aux cils interminables, puis le batteur fait un clin d’œil à l’homme aux jumelles.

Tandis que tout le monde est distrait par de nouveaux applaudissement, une main de femme remplace l’une des balles tombées par une autre balle de même couleur, et quand le lanceur lance une nouvelle fois la balle, celle-ci fait spectaculairemen texploser le batteur.
Le lendemain, les journaux font leur gros titre sur l’assassinat du Colonel Hawke, le batteur. Ayant lu le gros titre, le Prisonnier marche jusqu’à un cireur de route – Potter, l’homme qui marquait le score lors du match. Le Prisonnier, moqueur, demande à Potter s’il est occupé, et celui-ci répond que c’est leur Sibérie à eux, les agents anglais.

The Prisoner 1967

Le Prisonnier demande alors à Potter après qui le Colonel Hawke en avait. Potter répond que le Colonel enquêtait sur un savant fou, le Docteur Schnipps, qui projette de détruire Londres depuis vingt ans avec une fusée. Le Colonel était sur le point de découvrir l’emplacement de la fusée. Ils sont interrompus par le la le bip et la lumière du nécessaire à cirer de Potter, qui doit « décrocher » en portant la brosse à cirer à son oreille : c’est leur chef qui lui demande de dire au Prisonnier qu’il sera contacté dans la cabine d’écoute numéro 7 du disquaire Magnum. Laissant un gros pourboire et lui disant de garder la monnaie, le Prisonnier s’en va. Et dans la vitrine de la boutique de vêtement, la blonde en robe blanche et aux cils interminables qui prétendait être un mannequin, regarde le Prisonnier s’éloigner.

The Prisoner 1967

Chez le disquaire, le Prisonnier prend un disque au comptoir et l’écoute dans la cabine 7 : la voix de son chef résonne alors : la mission est de trouver la fusée et de la détruire. Le chef ajoute qu’il ne peut guère l’aider plus. Comme le Prisonnier répond ironiquement qu’il le remercie, fort improbablement, la voix enregistrée du chef lui demande ce qu’il voulait dire. Le Prisonnier lui répond alors que cela n’était pas important. Le chef lui demande alors de reprendre l’enquête là où le Colonel l’avait laissé, avec le déguisement standard.

C’est donc déguisé en Colonel Hawke que le Prisonnier reprend la partie de cricket. Et on lui envoie comme la dernière fois une balle piégée, mais au lieu de la frapper, le Prisonnier rattrape la balle à la main et la renvoie en direction du petit bois voisin où la balle explose. Au lieu de l’explosion, accroché à une branche, le Prisonnier découvre un mouchoir blanc à dentelle, sur lequel une main féminine a écrit au rouge à lèvre qu’on lui donnait rendez-vous au pub voisin. 

The Prisoner 1967

S’étant changé, le Prisonnier commande donc une pinte au pub voisin, mais alors qu’il déguste la bière opaque, il découvre une inscription au fond du verre, typique de celles du Village : « vous avez été empoisonné… ». Il se présente alors de nouveau au comptoir, et commande une combinaison très précise d’alcools tous différents, et comme il va vomir aux toilettes, il croise une femme blonde aux cils interminables avec un porte cigare. Comme il veut s’essuyer, il découvre écrit sur la serviette déroulante l’adresse d’un nouveau rendez-vous : en cas d’estomac barbouillé, il doit se rendre aux bains turcs…

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FIN DE LA PAGE