davblog

Newkronik

Ce blog statique prend le relais de davonline.com et du davblog suite au manque de fiabilité des bases de données et aux ralentissements causés par le pistage des internautes. Vous y retrouverez au quotidien l'actualité de la Science-fiction mise à jour au fur et à mesure de mes connaissances, ainsi que de nombreux .pdf gratuits.

***

The Prisoner 1967

The Prisoner 1967 S01E03:

The Chimes of Big Ben ****

***

Séries télévisées 1967

Dystopie - Prospective - Espionnage - Action - Fantastique - Science-fiction

Traduction du titre original : Le Carillon de Big Ben.

***

Episode précédent < > Episode suivant

Ici la page de la série télévisée de The Prisoner 1967.

Diffusé en Angleterre sur ATV Midlands le 6 octobre 1967.
Diffusé en France le 31 mars 1968 sur ORTF 2 FR.

***

De Patrick McGoohan. Avec Patrick McGoohan, Leo McKern, Angelo Muscat.

***

The Prisoner 1967

Pour adultes et adolescents

Enlevé en plein Londres, un agent secret s’est réveillé dans une étrange prison, le Village, où tout le monde prétend mener une vie normale dans un état démocratique, tandis que les dirigeants masqués de la prison veulent à tout prix obtenir toutes les informations possibles de leurs prisonneirs, par tous les moyens. Le chef apparent du village est le numéro 2, mais il change régulièrement. L’agent secret est désormais le numéro 6.

Ce matin-là une fois de plus, la radio chante les merveilles de la météo, du conseil du Village élu démocratiquement, qui organise un concours d’art – sculpture, peinture… les villageois ont six semaines pour créer. Quant au nouveau numéro 2, il a juré en arrivant de tout obtenir du numéro 6, mais ne veut pas le briser, car il ne veut pas de fragments d’homme. Pour le numéro 2, il suffira que le numéro 6 commence à répondre à une seule question : pourquoi il a démissionné – et ce sera gagné !

The Prisoner 1967

Le numéro 6 est effectivement loin de craquer, et il guette l’hélicoptère qui arrive. Il joue aux échecs avec un vieil homme qui lui conseille de céder et de coopérer, par exemple, de participer au concours d’art. Le vieil homme se prétend membre d’un régiment, mais de quelle armée, demande le numéro 6, qui le soupçonne d’être venu au village de son plein gré. Le numéro 2 débarque sur ces entrefaits, alors qu’une femme rousse en civière est descendue de l’hélicoptère. Le numéro 2 prétend qu’il s’agit juste d’une cure de repos après une dépression nerveuse, mais le numéro 6 l’accuse de retenir prisonnière, mais pour quel crime ? 

Comme le numéro 6 est invité chez le numéro 2 et prétend que jamais le numéro 2 ne saura le prévoir – et il demontre ceci en buvant exceptionnellement son café très sucré, le numéro 2 lui répond qu’il n’a pas d’inquiétude à avoir : le numéro 6 finira par être « guéri » de sa paranoïa. Ensemble, ils assistent sur les écrans du dôme au réveil de la jeune femme rousse – le numéro 8. Le numéro 2 appelle le numéro 8 et l’invite à déjeuner. Puis le numéro 2 offre au numéro 6 se quitter immédiatement le Village s’il répond à sa question : pourquoi il a démissionné. Pour le numéro 6, la question est de quitter le Village pour où exactement ?

Le numéro 2 lui rappelle alors qu’il était bon à sculpter le bois. Mais quand il rentre chez lui, le numéro 2 est abordé par le numéro 8 : la jeune femme rousse n’est autre que sa nouvelle voisine. Devant le désarroi apparent de celle-ci, le numéro 6 s’amuse à lui resservir les réponses toutes faites qu’on lui a fait à son arrivée à lui, et quand elle lui demande qui est le numéro 2, il lui demande qui est le numéro 1… Elle prétend n’avoir rien fait de mal, juste démissionné. Ce à quoi il répond que cela ne sert à rien de le lui dire à lui.

***

FIN DE LA PAGE